Patch 8.2.5

Patch 8.2.5: Le scénario d’Irion

Parmi ses nouveautés, le Patch 8.2.5 nous offre un nouveau scénario lié à Irion (le Prince Noir). Découvrez plus d’informations à la suite de cet article.

Celui-ci ne s’était pas montré depuis The Mists of Pandaria et ce nouveau scénario le concernant nous laisse suivre ses traces.

1. Les Murmures de N’Zoth (Chambre du Cœur)

2. La Taverne dans les Brûmes

3. Descente de l’Aile noire

4. Les Catacombes de Karazhan

5. Sur les traces d’Irion

6. Sauver Corne-d’Ebène

Vous devez rejoindre la Chambre du Cœur à Silithus où vous retrouverez l’esprit de Corne d’ébène bien mal en point. En effet, celui-ci est attaqué par les murmures de N’Zoth, ces derniers contenus par D.A.M.E.

Kalecgos, qui est aussi sur place, déclare qu’il connaît une personne capable de remédier au problème dont est confronté Corne d’ébène. Il s’agit d’Irion, le Prince noir. Seulement, cette idée est loin de le satisfaire, mais Irion est la seule personne à avoir mené des études pour résister aux murmures des Dieux Très Anciens. Celui-ci connaîtrait peut-être un moyen d’aider le Marcheur des esprits.

Malheureusement, les dernières traces du Prince noir remontent à la Pandarie. Vous devrez alors partir à la Taverne dans les Brumes pour y rencontrer les serviteurs d’Irion et leur demander où il se situerait.

Vous devez sauver Corne d’ébène de la corruption

Une fois arrivé sur place, vous remarquez que la taverne ne possède plus l’ambiance qu’elle avait jadis. En effet, vous pouvez observer que des observateurs en maraude veulent aussi glaner le moindre indice au sujet d’Irion. Votre but sera de les éliminer.

Vous remarquez également la présence des acolytes d’Irion qui attendaient votre venue. Contre toute attente, eux non plus ne savent pas où se trouve le Prince noir. Cependant, celui-ci a livré des pages d’un journal à ses serviteurs. Irion avait en réalité prévu votre arrivée et est déjà informé de la situation actuelle de Corne d’ébène.

Ci-dessous, voici le premier extrait de la 7ème page du journal:

Comme je le soupçonnais, rares sont les archives des Shen’dralar à avoir survécu à leur fuite d’Eldre’Thalas. Pour autant, les ouvrages qu’il laissèrent derrière eux en fuyant les déprédations de la Horde contenaient des brides d’informations intéressantes.

Les références aux Dieux très anciens restent vagues et indirectes, cantonnées à de brèves parenthèses archéologiques évoquant une période antérieure à la Fracture. En dépit de leur expertise en matière d’arts arcaniques, les Shen’dralar eux-mêmes ne réussirent pas à élucider totalement les subtilités de la magie occulte de l’Empire noir.

Cela étant dit, une poignée d’entre eux étudia le Vide, et les leçons qu’ils en tirèrent laissent entrevoir la possibilité de retourner son propre pouvoir contre N’Zoth.

Même laissée à l’abandon, l’organisation méticuleuse de la bibliothèque reste impressionnante. Dommage que les aléas de l’histoire n’aient pas épargné ce trésor inestimable.

La disparition de tant de connaissances est fort regrettable… Les Shen’dralar ont oeuvré sans relâche pour accumuler les librams qui garnissaient jadis leurs rayonnages, tout cela pour que la plupart finissent consumés par les flammes des combats.

Mais telle est la nature de la guerre, n’est-ce pas ? Il est bien rare qu’un conflit consacre les intentions premières de ses instigateurs, et jamais il ne prend fin sans laisser derrière lui un sillage incommensurable de chaos et de dévastation… tout particulièrement quand la Horde et l’Alliance sont parties prenantes. Peut-on affirmer, sans crainte de se tromper, que la victoire vaut le prix que l’on doit payer pour l’obtenir ?

Peut-être est-ce le cas, en de rares occasions. Mais ce verdict n’est pas aussi systématique que je le croyais autrefois.

Ci-après, le second extrait de la même page:

Même laissée à l’abandon, l’organisation méticuleuse de la bibliothèque reste impressionnante. Dommage que les aléas de l’histoire n’aient pas épargné ce trésor inestimable…

La disparition de tant de connaissances est fort regrettable. Les Shen’dralar ont œuvré sans relâche pour accumuler les libram qui garnissaient jadis leurs rayonnages, tout cela pour que la plupart finissent consumés par les flammes des combats.

Mais telle est la nature de la guerre, n’est-ce pas ? Il est bien rare qu’un conflit consacre les intentions premières de ses instigateurs, et jamais il ne prend fin sans laisser derrière lui un sillage incommensurable de chaos et de dévastation… tout particulièrement lorsque la Horde et l’Alliance sont parties prenantes. Peut-on affirmer, sans crainte de se tromper, que la victoire vaux le prix que l’on doit payer pour l’obtenir ?

Peut-être est-ce le cas, en de rares occasions. Mais ce verdict n’est pas aussi systématique que je le croyais autrefois.

Les acolytes d’Irion dans la Taverne dans les Brûmes

Éliminez les observateurs en maraude

Alors que vous avez ramassé la page n°7 du journal d’Irion, l’un de ses gardes du corps vous recommande d’aller au Mont Rochenoire, plus précisément à la Descente de l’Aile noire.  L’acolyte du Prince noir déclare que son maître a passé énormément de temps à cet endroit. En revanche, si vous ne le trouvez pas là-bas, il y aura sûrement une personne qui sait où le localiser. Cependant, il vous avertit que vous n’êtes pas le seul à être sur cette piste et Irion semble s’être préparé à cela.

Lorsque vous arrivez à la Descente de l’Aile noire, vous apercevez qu’Irion n’est pas présent et qu’un gardien de la griffe noire combat un interrogateur sans sommeil faisant partie des serviteurs de N’Zoth. Ce dernier souhaite lui arracher des informations.

Votre dessein sera de le vaincre. Avant sa défaite, l’interrogateur vous affirme qu’il est trop tard et et que des envoyés de N’Zoth ont déjà réussi à soutirer des informations issues de l’esprit du gardien de la griffe noire. De ce fait, ils sont parvenus à localiser Irion.

Vous ramassez sur le corps de l’interrogateur la page n°16 du journal.

Ci-dessous, un premier extrait de cette page:

Malgré tout le temps que j’ai passé en Pandarie, ce n’est que très récemment que j’ai fait la connaissance des chroniqueurs. L’immense bagage intellectuel consigné dans leurs parchemins est tout bonnement prodigieux. Le Chroniqueur Cho m’a beaucoup appris sur les légendes de l’Empire noir. Il lui arrive de se montrer… disons… particulièrement bavard, par moment, mais la sagesse qu’il peut impartir à qui a la patience de l’écouter est proprement inestimable.

Les Pandashan, en revanche, n’ont guère de temps à consacrer aux conversations n’ayant pas trait directement à la défense des Pandarens. Leurs érudits omnias ont accumulé des siècles d’expérience pratique en combattant les forces occultes des sha sans pour autant succomber à leur influence. Or, les sha étant issus de l’essence d’Y’Shaarj, les principes sous-jacents de leurs techniques pourraient s’avérer efficaces pour résister aux murmures des Dieux très anciens.

Force m’est de constater que j’ai ressenti avec les Pandashan une affinité à laquelle je ne m’attendais pas. Les Pandarens n’ayant pas d’armée de métier, les Pandashan constituent leur seule et unique défense contre les mantides et les sha.

S’ils ont tous suivi une formation intensive visant à se détacher de leurs émotions, ils portent sur leur visage les stigmates d’une solitude que je ne connais que trop bien. Ce n’est pas une tâche facile de se dresser tel le dernier rempart contre les ténèbres pour que les autres puissent s’épanouir dans la Lumière.

Pourtant, il faut bien que quelqu’un assume cette responsabilité. Et quand par malheur elle vous échoit, on ne peut guère se permettre de faillir à son devoir.

Ci-après, le second extrait de la même page:

Force m’est de constater que j’ai ressenti avec les Pandashan une affinité à laquelle je ne m’attendais pas. Les Pandarens n’ayant pas d’armée de métier, les Pandashans constituent leur seule et unique défense contre les mantides et les sha. 

S’ils ont tous suivi une formation intensive visant à se détacher de leurs émotions, ils portent sur leur visage les stigmates d’une solitude que je ne connais que trop bien. Ce n’est pas une tâche facile de se dresser tel le dernier rempart contre les ténèbres pour que les autres puissent s’épanouir dans la Lumière.

Pourtant, il faut bien que quelqu’un assume cette responsabilité. Et quand par malheur elle vous échoit, on ne peut guère se permettre de faillir à son devoir.

Aidez le garde la griffe noire à vous débarrasser de l’interrogateur sans sommeil

L’interrogateur sans sommeil sait où se localise Irion. En effet, ce dernier se situe à Karazhan (au Défilé de Deuillevent). Selon le gardien de la griffe noire, il y était allé afin d’étudier les artefacts qui y sont présents.

Alors que vous arrivez devant les catacombes, vous découvrez deux corps inertes: le premier est un guetteur de la griffe noire tandis que le second est un agent sans sommeil.

Vous trouvez sur la dépouille du guetteur la page n°26 du journal.

Ci-dessous, l’extrait n°1 de la page:

Rares sont les mystères qui m’intriguent davantage que les connaissances perdues et les technologies que nous ont léguées les Titans. Le zèle avec lequel j’ai cherché à élucider leurs secrets par le passé confinait sans doute à l’excès, mais c’est une quête qu’il faut à tout prix poursuivre. Je sais de source sûre que la Forge de l’origine est la clé qui permettra de vaincre définitivement les Dieux très anciens, même si j’ignore encore comment procéder.

J’espérais trouver des réponses dans le caveau d’Archavon, mais s’il recelait effectivement de nombreux documents à étudier, les géants qui y ont élu domicile m’ont réservé un accueil des plus… mitigés. On ne peut guère le leur reprocher, quand on sait comment se sont déroulés leurs précédents contacts avec les « visiteurs » de l’Alliance et de la Horde.

C’est étrange de penser à la façon dont ces événements ont précédé ma propre éclosion. Pendant que je sonde les profondeurs de connaissances ancestrales, d’autres traversent des crises que je ne connaîtrai jamais qu’à travers les chroniques historiques. Il y a forcément quelqu’un sur Azeroth qui possède les facultés dont j’ai besoin, et peut-être serait-il temps de me lancer à sa recherche.

Quel dommage que les Aspects d’autrefois soient si réticents à m’accorder leur confiance ! Malgré toute l’étendue de mes recherches en la matière, leur savoir sur les ouvrages des Titans surpasse encore sûrement le mien. Mais étant donné le lourd passé de mon vol draconique… d’Aile de mort, Onyxia, Nefarian… et moi-même… je ne peux guère leur en vouloir, à eux no plus.

Voici l’extrait n°2:

C’est étrange de penser à la façon dont ces événements ont procédé à ma propre éclosion. Pendant que je sonde les profondeurs de connaissances ancestrales, d’autres traversent des crises que je ne connaîtrai jamais qu’à travers les chroniques historiques. Il y a forcément quelqu’un sur Azeroth qui possède les facultés dont j’ai besoin, et peut-être serait-il temps de me lancer à sa recherche. 

Quel dommage que les Aspects d’autrefois soient si réticents à m’accorder leur confiance ! Malgré toute l’étendue de mes recherches en la matière, leur savoir sur les ouvrages des Titans surpasse encore sûrement le mien. Mais étant donné le lourd passé de mon Vol draconique…d’Aile de mort, Onyxia, Nefarian… et moi-même… je ne peux guère leur en vouloir, à eux non plus.

Une fois la page lue, vous entrez dans les catacombes de Karazhan et y découvrez que les agents de N’Zoth sont déjà à sa recherche. Votre objectif est alors de le trouver afin de trouver un remède aux murmures qui attaquent Corne d’ébène.

A l’intérieur, vous remarquez que chaque couloir est rempli de chercheurs du Vide sans sommeil et d’agents de N’Zoth. Ceux-ci crient qu’Irion suivra les traces de son père.

Votre but est de récupérer les objets suivants: un rouleau d’étoffe brodée, un livre sur les secrets des Dieux Très Anciens et la page n°58 du journal du Prince noir.

Abattez les chercheurs du vide sans sommeil et récupérez les objets dont vous avez besoin

Ci-dessous, l’extrait n°1 de la page 58:

Il est impossible de contempler Karazhan sans songer à la funeste histoire de son maître. Conformément aux prérogatives associés à son titre, le dernier gardien de Tirisfal avait amassé une vaste collection de documents et d’artéfacts propre à éclipser jusqu’à celle du Kirin Tor.

Les connaissances entreposées dans la bibliothèque de la tour m’ont permis d’atteindre un tournant dans mes recherches : j’ai mis au point un tonique dont l’absorption purifie une petite quantité de la corruption des Dieux très anciens tout en réduisant leurs murmures au silence. Ce n’est là qu’une première étape sur le chemin de la victoire définitive, mais il y a déjà lieu de s’en réjouir.

Si je savais que Karazhan me réservait des leçons édifiantes, je ne m’attendais pas à ce que l’esprit errant de Medivh me dispense ses lumières. Lorsqu’il m’a raconté son combat sous l’influence de Sargeras alors que le Titan noir corrompait son âme de l’intérieur, je me suis demandé si Neltharion avait lui aussi nourri des pensées similaires lors de sa descente dans les abimes de la folie.

Mais Medivh a également évoqué le retour de son esprit dans le royaume des mortels, et la façon dont il a guidé les champions d’Azeroth dans leur lutte contre les forces à l’origine de sa corruption. A ce propos, il a dit quelque chose qui me donne aujourd’hui encore matière à réfléchir : « Je ne pourrai jamais revenir sur mes actes passés, mais je peux toujours laisser derrière moi un nouvel héritage ».

Un nouvel héritage. Peut-être est-ce là ce que je cherche vraiment. Un moyen de racheter les erreurs de mon père… et les miennes. Un legs digne de la charge sacrée initialement dévolue au Vol draconique noir : la défense d’Azeroth. La fin des Dieux très anciens.

J’espère que ces pages vous auront été utiles, héraut, et que mes agents n’auront pas perdu leur temps en vous les transmettant comme je le leur ai ordonné. Soyez assuré que le moment venu, vous pourrez compter sur mon soutien dans la lutte contre N’Zoth… Lors de la véritable bataille pour Azeroth.

Une dernière requête, avant de vous laisser : brûlez ce journal. Il est temps que mes actes parlent pour moi.

Ci-après, l’extrait n°2:

Si je savais que Karazhan me réservait des leçons édifiante, je ne m’attendais pas à ce que l’esprit errant de Medivh me dispense de ses lumières. Lorsqu’il m’a raconté son combat sous l’influence de Sargeras alors que le Titan noir corrompait son âme de l’intérieur, je me suis demandé si Neltharion avait lui aussi nourri des pensées similaires lors de sa descente dans les abîmes de la folie. 

Mais Medivh a également évoqué le retour de son esprit dans le royaume des mortels, et la façon dont il a guidé les champions d’Azeroth dans leur lutte contre les forces à l’origine de sa corruption. À ce propos, il a dit quelque chose qui me donne aujourd’hui encore matière à réfléchir: “Je ne pourrais jamais revenir sur mes actes passés, mais je peux toujours laisser derrière moi un nouvel héritage. “

Ci-dessous, le troisième et dernier extrait:

Un nouvel héritage. Peut-être est-ce là ce que je recherche vraiment. Un moyen de racheter les erreurs de mon père… et les miennes. Un legs digne de la charge sacrée initialement dévolue au Vol draconique noir: la défense d’Azeroth. La fin des Dieux Très Anciens.

J’espère que ces pages vous auront été utiles, Yunarion, et que mes agents n’auront pas perdu leur temps en vous les transmettant comme je leur ai ordonné. Soyez assurée que le moment venu, vous pourrez compter sur mon soutien dans la lutte contre N’Zoth… Lors de la véritable bataille pour Azeroth. 

Une dernière requête, avant de vous laisser: brûlez ce journal. Il est temps que mes actes parlent pour moi.

Vous devrez ensuite vaincre X’korr l’Impérieux. Ce dernier déclare au début de l’affrontement qu’Irion lui a échappé mais que vous n’aurez pas cette chance.

Une fois vaincu, vous constatez la présence d’une table sur laquelle sont posés un flacon et une note. Cette dernière a été écrite par le Prince noir et laissée là avant de quitter les lieux.

La note indique que, si vous la tenez entre vos mains, cela signifie que Corne-d’Ebène se fait corrompre petit à petit par les murmures de N’Zoth. Heureusement pour vous, Irion avait tout prévu et vous a légué une potion de clarté mentale dans le but de le sauver.

Terrassez X’korr l’Impérieux

Vous remarquez par la suite un passage ouvert par D.A.M.E en direction de la Chambre du Cœur à Silithus.

Vous arrivez pile au bon moment. Kalecgos, Magni et D.A.M.E étaient sur le point de perdre Corne-d’Ebène. Vous lui administrez la potion et le marcheur des esprits revient à lui. Il n’entend plus les incessants murmures et vous demande si vous avez localisé Irion. Vous lui répondez que ce n’est pas le cas.

Cependant, vous avez réussi à le sauver et en apprendre davantage sur le Prince noir ayant réussi à s’échapper des agents de N’Zoth. Celui-ci a découvert un moyen de résister à la corruption des Dieux Très Anciens.

Corne-d’Ebène relève tout de même qu’il est très inquiétant de voir que l’influence de N’Zoth peut franchir la Chambre du Cœur. Si Irion a trouvé un moyen pour résister aux murmures des Dieux Très Anciens, alors peut-être qu’il pourrait être utilisé pour consolider les défenses de la Chambre.

D.A.M.E, de son côté, mémorise la totalité des données du journal et estime que ses pages peuvent être brûlées, ce qu’elle fait.

Vous avez donc terminé la suite de quêtes, Magni vous remerciant de votre aide et vous informant qu’il part à la recherche d’Irion.

Vous avez sauvé Corne-d’Ebène grâce à la potion de clarté mentale créée par Irion

Raydjahs

Webmaster des Chroniques d'Azeroth depuis sa création en 2018, Raydjahs en est également le rédacteur en chef et publie de nombreux articles et guides régulièrement.

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